Projections en folie à ECU, samedi

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La deuxième journée du festival du film indépendant a battu ses records de fréquentation avec près de 50 films présentés.

Depuis vendredi soir, l’anglais est la langue officielle, aux Sept Parnassiens, à Paris. «C’est impressionnant de voir que le festival accueille des réalisateurs, des cinéphiles, des acteurs du monde entier», sourit Shannon, bénévole à l’accueil de l’événement. Les films présentés sont d’ailleurs en anglais, sous-titrés français, ou en langues étrangères avec des sous-titres anglais. À la fin de chaque session, le directeur du festival Scott Hillier, invite les réalisateurs des films visionnés pour un moment d’échange avec le public.

Une trentaine de bénévoles venus du monde entier, eux aussi, assurent l’organisation et guident le public. L’ambiance est bon enfant grâce au passionnés et les curieux. «Ici, tout le monde est accessible, explique Jordan, bénévole. Si tu veux parler à un réalisateur, il suffit de demander, c’est facile !» Ainsi, les débutants reçoivent des conseils pour mieux se lancer et les réalisateurs,de tout âge et de toute expérience, accueillent les critiques avec plaisir.

Des découvertes fortuites

La journée se déroule au rythme de 7 sessions de 53 films, allant du documentaire à l’animation, du court au long métrage. «Le mélange des genres dans chaque sessions permet au public de découvrir des genres qu’ils n’auraient pas osé tenté», souligne une troisième bénévole, Mathilde.

Un melting-pot que le festival s’efforce de provoquer dans ses séances. Un mélange auquel l’internationalité de l’événement vient s’accorder. À merveille.

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